Encouragé par notre chasse précédente, et ayant vu beaucoup beaucoup plus de canards chez le voisin que sur notre territoire, nous avons négocié un droit de chasse exceptionnel d’une journée avec le proprio… une seule journée, le 25 décembre, deux chasseurs. Le père et le fils. Je dis un droit de chasse exceptionnel, car la place est occupé l’automne par des chasseurs de chevreuil… Mais là, le 25 décembre… la chasse au chevreuil est fermée depuis longtemps…
Température annoncée : -15 degrés… Outch. Plus le vent… Outch 2 !
Mais… droits d’accès juste pour cette journée là ! Alors, debout aux heures ou d’autres n’étaient pas encore couchés, nous voila donc fins prêt pour une chasse aux canards d’hiver !
Rendu en bordure du champ traversé par un fossé d’eau non complètement gelé… nous nous préparons quasiment pour la guerre tellement nous mettons du linge chaud… Nous prenons nos sacs à dos, le sac d’appelants et nos fusils et nous partons en bordure du bois jusqu’au champ.
Environ un demi-kilomètre de marche plus loin, le ruisseau est entouré de champs. Plus d’arbre pour déranger le gibier. On installe les appelants : la moitié dans le champ, l’autre à l’eau, en faisant des chaînes avec des pesées.
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En ce beau et doux petit matin du 23 décembre, en pleine noirceur, mais entouré de blanche neige brillante, nous nous dirigeons vers un petit cours d’eau libre. En effet, malgré la froidure piquante sur la peau, ce petit cours d’eau d’à peine 4 pieds de large ne gèle pas même à la fin décembre… (probablement à cause de la haute concentration de sous-produits d’engrais en provenance des terrains d’agriculture l’entourant). Nous voila fin prêt pour une autre aventure de chasse hivernale aux canards.
On installe nos appelants de canards au sol ainsi qu’en chaînes dans le ruisseau puis on s’habille en blanc et on se planque entre deux tas de foin enveloppé de neige. Bonne chance aux humains pour nous voir… Mais les canards sont évidemment beaucoup plus malins que les humains (entre autres 2 faux agents de conservation de la faune qui ont marché en plein champs pour venir nous demander nos papiers en pensant qu’on était pris en flagrant délit de braconnage de chevreuil !?!?) (les gars connaissaient leur affaires !!!! ils étaient habituellement affectés (j’ai choisi le mot) aux stupéfiants à Montréal) (les povres, après tout, comme il me disait « je fais juste mon travail »).
Ceci dit, nous avons vu quelques volées de canards ne voulant pas collaborer… Nous avons toutefois pu en récolter deux que voici sur la photo :
Une belle matinée ou nous avons également observés de nombreuses outardes qui nous narguaient (la chasse à la bernache étant fermée depuis quelques jours) ainsi que quelques oies blanches.
Avez-vous déjà vu un chevreuil buck en chaleur !?
En voilà un qui ne vient pas à bout facilement de sa « femelle »… mais qui persiste, insiste et continue d’espérer…
J’ai jamais vu un buck en chaleur de même… c’est incroyable… regardez bien la vidéo !
Je trouve cela impressionnant…
on pourrait presque croire que c’est un chevreuil apprivoisé mais de toute évidence ce n’est pas le cas…
J’espère avoir un jour l’espoir de voir un Buck en chaleur agir de même sur mon appelant femelle pendant la saison de chasse !!!
Et vous ?
Avez-vous déjà été témoin d’une telle situation en période de chasse ou non ?
PHOTO: PAUL CHIASSON, ARCHIVES PC
Après tant d’années à flamber l’argent des contribuables canadien, la fin du registre des armes d’épaule voit enfin le jour! C’est par les médias qu’Émotion Chasse & Pêche apprenait que le gouvernement Harper allait déposer aujourd’hui au Parlement son projet de loi pour l’abolition des armes d’épaule tant revendiquée par l’ensemble des chasseurs pan canadien.
Une initiative qui ne surprend personne vu que Stephen Harper avait déjà promis dans sa dernière campagne électorale avec l’obtention d’un gouvernement majoritaire. Harper a donc passé de la parole à l’action au grand bonheur de tous ceux et celles qui étaient jusqu’ici victime d’une loi, mal pensé au départ, voulant comme résultats escomptés une diminution de la criminalité.
Une victoire qui pourra dans un futur démontrer à tous ces groupes d’opposant que le registre n’a en réalité aucune incidence sur la criminalité à la grandeur du Canada!
Vous êtes détenteur d’un iPhone ou d’un iPod que vous apportez dans toutes vos sorties!? Du nouveau se présente pour ceux qui ont à la fois un côté technologique et nature. La Société des établissements de plein air du Québec (Sépaq) offre à sa clientèle détenteur d’un iPhone ou d’un iPod un tout nouveau concept technologique nommé « Explorateur Parc Parcours ».
L’idée est toute simple, permettre à la clientèle des différents parcs gérés par la Sépaq de suivre, à partir de leur iPhone ou iPod, les attraits qui sont rattachés au circuit qu’ils sont en train de parcourir. À l’écran de notre appareil, l’application Sépaq pour iPhone ou iPod nous présente les différents attraits des différents parcours en question. Lorsque nous appuyons sur un point, un texte et/ou des photos d’époque s’affichent. Encore faut-il qu’au par avant, vous ayez téléchargé l’application « Explorateur Parc Parcours » à partir de Apple Store. Pour éviter d’avoir une trop grosse application, une application par parc national est offerte.
L’idée initiale étant bonne, celle-ci doit encore murir. Quelques points laissent place à l’amélioration telle que l’indication du point de départ et d’arrivée qui se superpose. Présentement, le projet d’essai est disponible dans le parc de la Jacques-Cartier et celui du Mont-Saint-Bruno. D’ici 2013, nous devrions compter un total de sept parcs. Entre-temps, le service prendra de l’expansion dès le 11 octobre 2011 avec le parc national de Frontenac.
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