Chasse printanière à l'oie blanche pour 2011C’est enfin officiel! Le Centre de renseignements à la population Direction générale des communications Environnement Canada, nous a confirmé officiellement aujourd’hui par courriel que les nouvelles dates pour la chasse printanière à l’oie blanche ont été acceptées.

C’est une première dans la chasse printanière à l’oie blanche. Nous pourrons dès le 1er mars 2011 chasser cette espèce avant qu’elle soit déjà en direction du Grand Nord pour l’incubation naturelle. Notons que depuis plusieurs années des groupes de chasseurs se plaignaient des dates d’ouverture de la chasse printanière à l’oie blanche ne favorisant pas la réduction du nombre d’oies blanches une espèce surabondante au Québec.

Les NOUVELLES dates d’ouverture pour la saison 2011 sont :

Date Districts
du 1er mai au 30 juin A
du 1er mars au 31 mai C, D, E, F (Terre agricole seulement)

Rappel : Les chasseurs intéressés à participer à une éventuelle récolte de conservation des Oies des neiges au printemps prochain doivent conserver leur permis fédéral 2010.

Publié par Alain

Si vous vous demandiez si ça existait ça du chevreuil dans l’Outaouais…. ben vous avez  juste à regarder les images ci-dessous…

Elles ont été prises au début de janvier dernier par la nièce d’un de mes très bons amis.

Quand j’entends dire les chasseurs que les chevreuils ont peur des bâtiments humains…

Par contre il faut dire que les chevreuils savent c’est quand la période de chasse… ha ha

Remarquez à quel point on discerne bien les oreilles…

Chevreuil dans l'outaouais Lire la suite de cet article »

Publié par Affuté

Déclin des caribous ; La clé du mystère?

J’ai ma propre hypothèse sur les causes du déclin des caribous;

Déclin des caribousUne large part du régime alimentaire de ces bêtes se compose de lichens.  Or, ces végétaux à croissance très lente ont la propriété d’accumuler les contaminants transportés par les vents, et qui proviennent des très nombreux essais de bombes atomiques et des accidents survenus dans les centrales nucléaires depuis 1945.

Vous savez probablement qu’il faut restreindre le plus possible le nombre de repas d’abats de cerf de virginie et d’orignal ou même s’en abstenir complètement, en raison de la concentration du cadmium dans ces organes.  C’est l’endroit du corps des cervidés où s’accumule ce polluant qui provient des sources énumérées ci-haut.

A notre tour, notre métabolisme l’accumulerait sans pouvoir s’en débarrasser.

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Publié par Alain

Lorsque l’on part à la chasse, quelle que soit la saison, le type de gibier, il est une chose qui ne change jamais. Il faut faire preuve de patience.
Que faire cependant lorsqu’on la fin de la journée approche, qu’on se retrouve tous ensemble pour un repos mérité avant d’entamer une seconde journée ? Echanger sur ce qui s’est passé, se désaltérer, établir les plans pour le lendemain. Et pourquoi ne pas se lancer dans une partie de poker en attendant ? Attention, il n’est à aucun moment ici de parler de jouer au poker en ligne, mais bel et bien au bon vieux poker autour d’une table.
Après tout, le poker a beaucoup plus à voir avec la chasse qu’on ne le pense. Premièrement, et comme je l’ai souligné un peu plus haut, la patience. Clé de voute du poker en plus de la stratégie – et de la chance aussi diront certains – il faut souvent avoir des nerfs en acier pour jouer au poker passé un certain niveau. D’ailleurs certains termes du poker ne trompent pas. « Under the Gun », signifie au poker être premier de parole, donc celui qui va prendre la décision avant les autres et sans doute même parfois déterminer le cours de la main à jouer.

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Publié par Philippe

Le-caribou-en-declin
Au début de décembre 2010, le sujet brulait déjà les lèvres de plusieurs amateurs de chasse. Qu’arrive-t-il avec la population du caribou? La situation actuelle du caribou en déclin inquiète plusieurs experts qui tentent de trouver une explication logique à ce phénomène.

Lorsqu’on voit un troupeau constitué de 800 000 têtes en 1993 passé en l’espace d’un peu moins de vingt ans à seulement 74 000 têtes, il a de quoi à s’interroger. Dû l’urgence de la situation, certaines mesures de conservation ont été mise de l’avant récemment par le Ministère des Ressources naturelles et de la Faune du Québec. Malgré ce début d’action timide, les experts s’attendent malgré tout à une dégradation de la population des caribous pour les prochaines années.

Il n’y a pas juste au Québec que le caribou est en déclin. Le troupeau Berveley qui courtise les Territoires du Nord-Ouest subit également une baisse de 98% de sa population sur une période de quinze (15) ans. Passant de 270 000 têtes, on en compte aujourd’hui qu’à peine quelques dizaines de bêtes. En Alaska, au Groenland et en Russie, les grandes hardes d’ongulés sont elles aussi en chute libre.

Pendant que nous sommes à la recherche des causes réelles liées à ce déclin, les conditions des habitats sont très propices à l’espèce. La nourriture présentement disponible répond amplement aux besoins de l’espèce, même qu’elle devrait permettre non pas à la population du caribou de décliner, mais d’augmenter. Alors pourquoi cette espèce subit-elle un tel déclin ? Quelques hypothèses telles que la chasse excessive, l’exploration minière et pétrolière et la présence de parasites font partie des explications liées à ce phénomène. Par contre, des facteurs beaucoup plus importants comme le changement climatique, aux précipitations abondantes et le verglas plus fréquent viennent jouer un rôle important pour expliquer le caribou en déclin.

Au bout du compte, l’avenir des caribous s’annonce très ardu. Les experts s’avancent en disant que le caribou, évoluant dans un climat froid, risque de tout simplement migrer encore plus vers le nord. Le seul hic à tout ça, c’est qu’au Québec l’espèce occupe déjà cet espace. Est-ce le son du glaive de dame nature pour le caribou, cet animal fétiche du Père Noël ?

Inspiré de l’article de Pierre Gingras de La Presse