Par un bel après midi de la fin du mois de septembre, je me prépare pour aller m’installer dans ma cache construite dans de gros sapins à environ 11 pieds du sol.
Après une approche de l’endroit sans faire le moindre bruit, je monte l’échelle et m’installe confortablement pour attendre d’éventuels chevreuils qui fréquentent le secteur.
Je suis très confiant car j’ai eu plusieurs visites les jours précédents mais, avec mon arc, les positions du gibier n’étaient pas adéquates pour effectuer un tir précis et vital.
Après quelques heures d’attente, soit vers 6 heures du soir, il reste environ 30 minutes de chasse et j’entends des craquements s’approchant lentement.
Soudain m’apparut un monstre, un ours immense qui ne semblait pas du tout inquiet de son environnement.
Suite à une deuxième journée de chasse infructueuse, nous avons du conclure qu’elle avaient déjà quittées le secteur. En effet, en deux jours de chasse et beaucoup de prospection, nous n’avons vu que de très rares voiliers et seulement deux petits groupes d’individus campés dans des champs éloignés.Nous avons décidé de profiter de notre troisième journée pour tenter de dénicher de nouveaux terrains propices à la chasse à l’oie blanche, Nous avons donc fait du porte à porte, mais en camion évidemment ! Nous avons été jasé avec pas mal de proprios. Il ne faut pas se décourager quand ils ne sont pas là au moment de notre visite. Il y en a un que nous avons rencontré lors de notre troisième visite de la journée !
Nous étions très détendu… Nous expliquions que nous étions une famille de trois chasseurs à la recherche de nouveaux terrains pour pratiquer la chasse à l’oie dans la région pour l’automne. Vous l’aurez deviné… nous avons récolté une quantité non négligeable de refus… principalement parce qu’il y avait déjà des chasseurs à cet endroit.
Nous avons aussi obtenu comme réponse de la part d’un agriculteur, et c’est bien correct, qu’il ne voulait pas de chasseur parce qu’il aime les animaux et qu’il veut qu’on les laisse tranquille. C’est bien correct. (que fait-il avec ses vaches et ses veaux ?). (demande t-il un dédommagement de l’assurance récolte lorsque les oies dévastent ses champs de cultures ?). Mais c’est bien correct, et le gars a été poli.
Mais que dire de cette madame qui nous a dit qu’elle ne voulait rien savoir des chasseurs d’oies blanches dans ses champs parce que les oies blanches détruisent ses champs !?
C’est parti! Depuis le 1er avril 2009, les amateurs de pêche peuvent s’adonner à leur activité préféré dans la zone 12.
Subdivisé en 29 zones, le Québec comporte différentes dates d’ouvertures pour la pêche selon l’espèce pêché. Émotion Chasse & Pêche à donc pensé à tous ces pêcheurs (amateurs comme experts) et vous a conquoté un résumé de ces date d’ouverture de la pêche sportive 2009.
Vous n’avez qu’à cliquer ici.
Voici également un résumé des principales nouveautés que l’on retrouve sur le site du ministère des ressources naturelles et Faune (MRNF) :
- Instauration d’une limite de taille pour le Doré, l »ombre de fontaine et l’esturgeon
- Instauration d’une période de pêche d’hivers pour certaines espèces
- Instauration d’une limite de prise pour le corégone
- Nouvelles règles de pêche dans la rivière Matapédia
- Nouvelles règles de pêche dans certains secteurs de la rivière Jacques-Cartier
- Interdiction d’utilisation d’appâts vivants ou morts dans l’aire faunique communautaire du réservoir Gouin
- Interdiction d’utiliser plus de deux mouches artificielles dans une rivière à saumon
- …
Pour avoir la liste complète des principales nouveautés de la pêche sportive 2009, nous vous invitons à vous procurer le guide des principales règles chez un détaillant d’article de pêche (ex: Canadian Tire). Il demeurs que le site du Ministère des ressources naturelles et Faune (MRNF) est la meilleur source d’information.
Cette dame à l’apparence très charmante et très polie nous a totalement pris par surprise.
Lorsque nous lui avons demandé la permission pour chasser dans ses champs de mais, elle nous a répondu, dans un seul souffle, qu’elle ne voulait pas de chasseur car cela attirait les oies et que les oies endommageaient ses terrains !
Nous sommes resté quelque peu estomaqué. C’est bien ce qu’elle a dit… trop de dommage fait par les oies !
Plutôt que de rebrousser immédiatement chemin, j’ai continué, avec beaucoup de compassion, à discuter avec la dame en disant que c’était terrible toutes ses oies blanches qui prolifèrent… Qu’il y avait pourtant que la chasse qui pouvait en diminuer le nombre. Et même que la présence de chasseurs sur ron terrain allait éloigner les oies. Qu’elle pouvait se fier sur nous là-dessus. Elle rétorqua alors que justement, au contraire, les chasseurs attirent les oies. Avant elle avait des chasseurs et que depuis ce temps là, il y a tout le temps plein d’oies chez elle !
C’était à ne rien y comprendre ! Je poursuivi la discussion au grand désarroi de mes comparses. Je lui demandais en quoi les oies endommageaient son terrain. Elle répondit que les oies, en se faisant aller les ailes, faisaient des trous, remplissaient les fossés, et en venaient à défoncer les ponts de ses chemins !
Suite à un avant midi de chasse à l’oie blanche, nous nous sommes dirigés vers nos terrains de chasse au dindon sauvage. La chasse au dindon sauvage ouvre dans moins d’un mois après tout ! Il est temps de commencer à identifier les endroits les plus propices pour le chasser. Nous nous sommes lancé dans notre prospection de chasse au dindon.
En effet, les endroits où nous avons aperçu le plus souvent des dindons sauvages au courant des deux dernières années ne sont plus les mêmes qu’auparavant.
Il faut l’admettre, le dindon sauvage est très intelligent et a su très rapidement s’adapter à la pression de la chasse. Le dindon sauvage sait maintenant qu’il ne doit pas traîner sur le bord des routes et dans les champs à découvert près des routes.
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