Connaissez-vous l’expression : Comment la vache à fait pour ch… sur le dernier barreau de l’échelle ?
Il faudra ajuster cette expression pour les orignaux…
Avez-vous déjà vu un orignal grimper dans un poteau électrique ?
Manquait-il d’énergie ?
Incident d’orignal- Bracebridge , Hydro Ontario, Canada
Ils étendaient des câbles électrique au sol sur des milles de long. L’orignal était en rut en ce temps de l’année et alors bien agité.
L’orignal raclait aux alentours, quand les hommes à des milles plus loin, ont commencé à tirer sur le câble pour bander le fil sur le poteau. L’orignal avait les cornes prises dans le câble et montait avec.
Ils se sont aperçus qu’il y avait une tension extrême. Ils sont alors partis pour trouver le problème. L’orignal était encore en vie quand les hommes l’ont baissé au sol. C’était un gros mâle de 60 po. de panache. Apparemment l’orignal était seulement un peu égratigné. Personnellement je suppose qu’il avait aussi mal dans le cou.
Le salon expert Chasse et Pêche 2010 ouvrira cette année ses portes du 25 au 28 février 2010 sous le thème « Au rythme des saisons !». Rappelons que ce salon est l’unique salon à Montréal à offrir sous un même toi des sections réservées pour la chasse, la pêche et le camping. En d’autres mots, c’est l’événement parfait qui rejoint un nombre summum de pourvoiries et de destinations nature.
Devenu avec les années l’unique référence en matière de conférences spécialisées. C’est plus de 60 conférences qui sont données en l’espace de quatre jours. Évidemment, tout amateur de pêche à le devoir de se présenter au minimum à la conférence de Patrick Campeau qui vous donnera une full de trucs sur la pêche. Quant aux fanatiques de chasse, ceux-ci seront comblés par les conférences de Michel Therrien, spécialiste renommé et guide de chasse pour le gros gibier, de Louis Gagnon, biologiste, guide et grand spécialiste de la chasse au chevreuil et de Michel La Haye, collaborateur au Magazine Sentier Chasse Pêche et guide de sauvagine depuis 20 ans, nous parlera cette dans ces conférences de l’outarde.
Cette année s’est ajouté le concours « Vivez la pêche extrême, gagnez la pêche de votre vie » en compagnie de Patrick Campeau.
Le prix englobe…
- * Un séjour d’une semaine au Plummer’s Arctic Lodges du 7 au 14 août 2010
* Voyage allez-retour Montréal – Yellowknife
* Une somme de 200$ pour les extras
* Le transport allez-retour par avion de Yellowknife au Plummer’s Arctic Lodges
* Le Gîte et les repas
* Le service de guide à tous les jours incluant: bateau, moteur et l’équipement nécessaire.
Le tout d’une valeur de 10 000 $.
C’est arrivé au Territoire du Nord Ouest, cet homme est chanceux d’être vivant
Le gars a survécu à une attaque d’un ours polaire !
L’ours a sauté sur lui pendant qu’il dormait dans sa tente et il a réussi à se libérer et à le tirer.
Un campeur chanceux et combatif !
Tires! Tires!
Malgré l’excitation et bien souvent le stress occasionné par l’apparition de la bête tant convoitée, il faut prendre le temps de se demander; tire ou tire pas? Tout dépend de la distance de tir pour le chevreuil…
Personnellement quand je chasse à l’arc, un chevreuil à 25 mètres est généralement trop loin. Je dois préciser que je pratique la chasse à l’arc dans le bois dense, où sauf exception les chevreuils se présentent en début ou en fin de journée. Les conditions de faible luminosité donnent une image moins précise des mires d’arc, où les branches augmentent les chances que la flèche soit déviée. Il n’est pas question de « défricher » de larges couloirs de tir autour de mon affût, car les bucks ne s’y présenteront pas… Alors il faut oublier les longs tirs comme on peut en voir dans les films de chasse.
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L’histoire que je m’apprête à vous raconter est une leçon pour tous ceux qui pratiquent la chasse. Ce récit est loin d’être une belle histoire à la Bambi contée par Walt Disney. Cependant, il devrait vous pousser à méditer sur le sujet…
L’histoire se passe dans la région de Sherbrooke. Ça faisait plus d’un mois qu’un cerf de Virginie vagabondait en forêt avec une flèche d’arbalète piquée dans le nez. Il va de soit que la bête avait jusqu’à là survécu miraculeusement à un chasseur maladroit ou à l’effronterie d’un braconnier.
Résultat : l’animal a dû être abattu par les agents de protection de la faune à la suite d’un accident avec une voiture.
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