Un ami à moi est allé à la pêche en haute mer. Ils ont passé une merveilleuse journée. Ils ont eu de la chance, le soleil était au rendez-vous !
Ils ont capturés plusieurs espèces de poisson.
Mais le clou de leur journée de pêche en mer, le moment ultime, c’est lorsqu’un espadon à sauter sur leur appât !
Le combat fut engagé…. ttzzzz tttzzzzzziiii
Ça tire un espadon !
Le match a duré environ 45 minutes avant de réussir à le sortir de l’eau et l’embarquer dans le bateau.
Ils ont eu un petit 2 minutes de pure bonheur à le toucher et l’admirer… Le temps de quelques photos… qu’il partage avec nous ci-dessous… Bravo les gars !
La ville gruge constamment les forêts et empiète par dessus les marais et marécages de telles sortes que les animaux, les oiseaux, les canards et autres bestioles ont de moins en moins d’espace et d’aires de repos…
L’inévitable se produit alors… Les animaux en viennent à explorer ces nouveaux territoires envahissant… qui parfois, malheureusement, causent leut perte comme en fait foi cette série d’images du maudit photographe qui a préféré prendre des photos au lieu d’intervenir !
grrrr…
Un lecteur nous a fait parvenir un courriel pour nous demander si la technique décrite dans le guide Comment naturaliser un panache pouvait être utilisée pour un panache de lapin… Ha ha ha ! Quoique je n’en n’aie jamais vu un vivant… il semblerait que cette espèce ai déjà existé mais qu’elle se soit éteinte.
En tous cas, à la chasse, si jamais vous pogné un lapin avec des cornes, ou un lièvre avec des cornes, faites-nous le savoir !
Références des photos :
- Roger L. Welsch. Tall-Tale Postcards: A Pictorial History. A.S. Barnes and Company. 1976. Pg. 78-79.
- Dance, Peter. Animal Fakes & Frauds. Sampson Low. Berkshire. 1976. Pg. 114-115.
Après l’accident du chevreuil frappé par une voiture de course, voici des photos pas mal moins drole d’un accident d’auto avec un orignal.
Outch.
L’histoire ne dit pas ce qui est arrivé au chauffeur.
Nous avons communiqué avec Environnement Canada et l’information vient tout juste d’être officiellement relachée sur leur site Internet.
Il y aura bel et bien une récolte de conservation printanière pour l’oie blanche en 2008.
Les dates où la chasse sera permise sont les suivantes :
- du 1er mai au 30 juin dans le district A ;
- du 1er avril au 31 mai dans les districts C, D, E, F, G, H et I.
Et comme par les années passées, la chasse n’est permise que dans les terres agricoles seulement.
Nous avons également retrouvé dans le site d’Environnement Canada que l’inventaire aérien effectué permet une estimation de la population de la Grande Oie des neiges à environ 1 019 000 ± 75 000 oies. Ce qui constitut un nombre très similaire à l’année précésende ( 1 017 000 oies)
Nous avons construit le petit graphique ci-dessous représentant le nombre d’oies blanches récoltées à l’automne au Québec et aux États Unis, ainsi qu’au printemps au Québec.
(données colligées sur le site d’Environnement Canada)
Cette année, la limite de prises lors de la récolte de conservation printanière est la même que l’année dernière, soit de 20 oies par jour. La limite de possession est elle aussi la même, soit de 60 oies.
Vous devrez vous procurer votre permis de chasse aux petits du Québec 2008-2009, et avoir votre permis de chasse aux oiseaux migrateurs de l’automne dernier (2007-2008) (où vous le procurer).
Fait intéressant, le Service canadien de la faune a estimé à 26 300 le nombre d’oies des neiges qui a été récoltées au printemps 2007. Ils ont également estimé à environ 3000 chasseurs ayant tenté de déjouer l’oie blanche le printemps dernier.
Serez-vous du nombre cette année ?
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